Matthieu S.

Au début, Rebecca cherche ses mots. Plus loin le style reprend de son dynamisme et de sa spontanéité tout en y ajoutant des détails historiques et culturels ce qui rend la lecture passionnante.

Dans la seconde partie, l'auteure parle davantage d'elle-même, de ses peurs, de ses angoisses, de ses idéaux; ce qui nous transporte dans une littéraure plus proche de l'essai.

La dernière partie sur le Costa Rica est très intéressante; on y lit des détails sur les personnages, le paysage citadin, ce qui donne plus de couleurs au récit.